Et si regagner son existence consistait à perdre ce qui occupe la majeure partie de nos vies ? Je propose un usage inversé de la bonne vieille formule « perdre sa vie à la gagner » pour plaider, non pas le provocateur « ne travaillez jamais » mais le pas de côté par rapport à la centralité du travail et de tout ce qu’il implique dans l’imaginaire social actuel, en vue d’une désaliénation radicale de celui-ci.
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